Force est de constater en effet qu’aujourd’hui, dans de nombreuses institutions, il est de bon ton de critiquer les personnes ou les actes, de faire primer son « moi » individuel sur le bien commun.
Force est de constater en effet qu’aujourd’hui, dans de nombreuses institutions, il est de bon ton de critiquer les personnes ou les actes, de faire primer son « moi » individuel sur le bien commun.